Le Patron, Les Collègues, LInconnu, Kevin Et Moi
Le lendemain de la rencontre avec Kevin, et de ce premier trio avec deux inconnus, je me mis à la recherche de groupes pratiquant le gangbang; idéalement sans condom, avec des hommes triés sur le volet et bien entendu, testés fréquemment. Mes recherches savéraient infructueuses.
Jen fis part à ma douce qui lisait tranquillement sur le balcon, à lombre dun érable bicentenaire.
« On verra. Il y a tellement dautres possibilités : des soirées en club que nous voulons expérimenter, des flirts dans les bars, des baises avec de parfaits inconnus
Nous commençons à peine à explorer, mon coquin. »
« Je comprends, dis-je en faisant la moue. Cest juste que
»
« Peut-être pourrions-nous commencer nos recherches auprès de lagence dont nous a parlé le médecin, quen dis-tu ? »
« Très bien, dis-je. Jappelle et je prends rendez-vous. Nous verrons bien. »
« Allez, il faut que jaille travailler. Souhaite-moi bonne chance, mon coquin. Tu seras peut-être cocu avant mon retour. »
Son boss, je lavais oublié. Je fis mine de rien et lobservai se préparer. Elle enfila de jolis bas collants, un string noir et pris soin de choisir un soutien-gorge qui allait de pair. Elle passa ensuite une blouse noire et finit par une jupe cintrée gris pâle qui lui arrivait à mi-cuisses. Son maquillage terminé, elle mit de lordre dans sa coiffure et vint membrasser.
« Minute, lui dis-je. Enlève ton string. »
« Pourquoi ? Tu veux que je me promène la chatte à lair maintenant ? »
« Oui, ma belle. Tu nauras droit de le remettre que si tu as reçu une ou plusieurs queues en toi. Ta chatte est toujours plus mouillée quand elle est nue. Et ça excitera ton patron de penser que tu ne portes jamais de sous-vêtements. Aussi, sil met une capote comme convenu, tu prends soin de la rapporter si elle est pleine. Sil vient sur toi ou dans ta bouche, fais comme hier : récolte le sperme pour létendre sur ta chatte.
« Eh bien, mon coquin, je vois que tu as pensé à tout, me dit-elle en retirant son string en dentelle. Je te promets de faire comme tu veux. Et sil ne met pas de capote ? »
« Tu lui intimes lordre de venir en toi et tu
»
«
remets ma petite culotte, minterrompit-elle. Javais compris. Allez, je me sauve. À plus, mon amour. Sois sûr que je ferai tout mon possible pour ne pas revenir avant de tavoir refait cocu. Bye ! »
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Quelle femme délicieuse pour un candauliste. Mon amour pour elle ne faisait que grandir. Une fois partie, je téléphonai à lagence pour prendre rendez-vous. Je tenais à profiter au maximum de cette nouvelle dynamique.
Après une très brève conversation avec une réceptionniste des plus standardisée, le rendez-vous fut pris pour le lendemain matin. Marianna ne travaillait quen après-midi, mais à tous hasards, je lui envoyai un message texte pour massurer quelle ne prenne pas dautres engagements dici là.
Il était 10h, et je devais étudier pour rattr mon retard. Cest magique le libertinage, ça fait disparaitre les heures et les heures deviennent des jours. Évidemment, je ne pouvais mempêcher de penser à Marianna qui allait tenter de séduire son patron et peut-être même quelques collègues. En plus, nous allions recevoir un autre homme vers 18 h et Kevin devait passer après 20 h. Comment étais-je censé me concentrer avec toutes ces idées érotiques et perverses qui fusaient comme des feux dartifice dans ma tête de libertin obsédé ?
14h. Mon téléphone vibra. Cétait Marianna.
« Chéri, mon patron ma convoquée. Des rumeurs circulent au sujet de licenciements et de restructuration dentreprise
Jai bien peur de faire partie des « restructurées », mannonça-t-elle toute déçue.
« Cest loccasion de lui montrer à quel point tu es un élément essentiel de lorganisation, lui dis-je.
« Je ne sais pas trop. Lambiance est loin dêtre au batifolage. Jy vais, je te tiens au courant. Je taime. »
15 h 15. Mon téléphone vint interrompre mes réflexions au sujet de mes choix de cours qui mapparaissaient soudainement insipides.
« Chérie, je garde mon emploi », me glissa-t-elle en chuchotant comme sil sagissait dun secret dÉtat.
« Cest super ! Bravo, ma puce. Raconte ! », lui demandais-je en espérant que la situation avait tourné à son avantage grâce à ses charmes.
« Javais raison. Mon patron, sous ses airs austères, est un vrai pervers et il a une queue énorme. Il ma défoncée sur son bureau, comme dans mes fantasmes. Il ma même fait lécher son anus. Ensuite il ma enculée à la hussarde et sest vidé dans ma bouche. La mauvaise nouvelle, cest que considérant que jétais en couple, il na pas mis de capote, mais ne ma pas laissé le choix de lendroit où venir. Je suis désolée. »
« Wow ! Heu
OK. Tu me fais marcher ou cest vrai ? »
« Non, cest vrai. Cétait dingue ! Je nen reviens pas encore. Tu es fâché ? »
Je my attendais, daccord, mais malgré tout, je fus étonné. Une fulgurante érection vint me confirmer que tout était bien réel. Et ma douce, de surcroit, semblait avoir bien apprécié son expérience adultère.
« Raconte-moi tout, stp. »
« Bien, en entrant, il était assis à son bureau et consultait des dossiers. Il ne ma même pas regardée. Je lui ai dit bonjour et il ma saluée poliment en minvitant à massoir. Je suis restée debout à le fixer dun air décidé. Il a finalement pausé son regard sur moi et jai soutenu son regard un bref moment. Ça ma semblé durer une éternité. Jai ensuite dirigé mes yeux vers mes seins et ma jupe que je commençais à retrousser en me mordillant les lèvres. Et je lui ai dit : ya-t-il quelque chose que je puisse faire pour garder mon emploi, M. Bastien ? Je mattendais à ce quil menvoie promener en me traitant de pute, mais il ma juste dit : continuez.
« Es-tu OK ? Ça va ? Il ta fait du mal ? »
« Non, cétait trop bon ! Ne tinquiète pas. Et jai badigeonné ma chatte avec son sperme et jai remis ma petite culotte, comme tu voulais. »
« Je suis heureux que tu aies pris ton pied. Quavez-vous convenu ? Lui offrir ton corps fait désormais partie de tes prérogatives ? »
« Je ne sais pas, il est resté très discret. Il ma juste dit que je gardais mon emploi et que dautres tâches allaient mêtre confiées. Au final, je ne sais même pas sil allait me virer. Mais je men fous, mon but était de me le faire et cétait super bon. »
« As-tu joui ? Le hic maintenant, cest que sil te défonce comme ça tous les jours, tes trous seront distendus et plus aucun mec ne pourra te sentir. »
« Tes con ! Tu sais bien que je fais mes exercices. Et oui, jai joui, plus dune fois. »
« Crois-tu réussir à te faire un de tes collègues finalement ? »
« Je dois te laisser, je te texte. »
La réponse tarda, mais oui. Elle avait comme plan dattirer dans les toilettes un garçon qui lui plaisait bien, un certain Daniel. Elle voulait cependant le faire un peu avant de quitter le bureau afin dêtre le plus fraichement souillée possible à son retour. Quelle délicatesse.
17h. Je reçus un autre message texte de ma belle salope accompagné dune photo delle dans les toilettes, la bouche pleine de sperme. Je mempressai de lui demander si le mec lavait baisé. Elle répondit par la négative, ajoutant quils avaient préféré se faire sucer. « Ils? » Je pensais à une blague, mais elle menvoya une autre photo où on la voyait effectivement prendre deux queues en bouche.
« Je leur ai demandé de prendre cette photo pour toi, mon coquin. Tu aimes ? Il semble que Daniel et Maxime viennent en duo, je nai pas trop eu le choix. Ils ont tous les deux des queues modestes par contre
Ils pourront me prendre en double quand je me serai habitué à lénorme queue de mon patron. Une double vaginale, peut-être même une double anale
Je suis en route, jarrive. Et oui, jai bien recraché leur sperme pour lappliquer sur ma chatte toute gluante maintenant. »
« Merci, mon amour, tu es la meilleure des cocufieuses. Double anale ? Double vaginale ? En plus du patron avec son énorme queue ? Il va te falloir faire beaucoup dexercices de Kegel ».
« Tes con. »
« Moi aussi je taime. »
Décidément, elle navait pas fini de me surprendre. Mon amoureuse était en réalité une véritable salope, ça ne faisait plus aucun doute. Jusquoù irait-elle ? Jétais bien décidé à le découvrir et pour ça, je devais continuer de lui accorder mon soutien indéfectible et toute la liberté dont elle avait besoin afin dassouvir ses fantasmes les plus fous.
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Elle revint à lappartement seulement dix minutes avant larrivée du mec de 18 h. Elle déposa ses affaires, alla se laver les mains et vint membrasser goulument, mimposant la lubricité de sa bouche souillée pendant deux bonnes minutes. Elle sortit ma bite tendue de mon caleçon, enleva sa petite culotte et se coucha sur le canapé.
« Pénètre-moi, stp. »
Surpris, mais ravi, je mapprochai et entra sans mal mon chibre dans sa chatte crémeuse, juteuse, souillée et plus distendue quà lhabitude.
« Tu me sens », me demanda-t-elle ?
« Pas vraiment, non », lui répondis-je, en continuant de besogner ce con moelleux et gluant comme jaime. Jétais au paradis.
« Merde ! Il ma vraiment défoncée, lâcha-t-elle désespérée en me repoussant. Pour Kevin, ça devrait aller, il est monté comme un cheval, mais les autres ? »
« Et moi, accessoirement. »
« Oui, bon, toi tu es daccord et tu maimes. Non ? »
« Bien sûr que je taime, ne tinquiète pas. Comment va ton cul ? »
« Essaye », me demanda-t-elle.
Cool.
Elle se mit à quatre pattes et écarta son magnifique fessier, révélant du même coup ses deux orifices très élargis. Je neus pas besoin dappliquer une noix de salive sur lentrée de sa cavité anale pour my enfoncer dun trait tant elle était encore gluante du foutre de ses amants. Cétait tellement bon, mais pas plus serré. Jen profitai tout de même un moment avant de le lui révéler. »
« Et alors, senquit-elle ? De mon côté, je ne te sens pas beaucoup. »
« Pareil, fis-je. Tu es superbement ouverte. Perso, ça me va très bien. Jadore. Cest dingue quil tait ouverte ainsi en une seule baise. Je peux continuer maintenant ? »
« Un mec est sur le point darriver, tu te souviens », demanda-t-elle, agacée ?
« Relax, jy peux rien moi si ton patron est monté comme un âne. »
« Je tiens à être à la hauteur, tu comprends ? »
« Finalement, ton idée de double vaginale et double anale nétait pas si mauvaise. Je croyais que tu plaisantais, mais
»
« Cest ça quon va faire, dit-elle en me balançant ses fringues à la gueule. Je vais mempaler sur toi et je lui demande une double vaginale. Je lui dirai que jen meure denvie et que je me suis préparée toute la journée exprès. Maintenant, stp, mon amour, lèche-moi. Nettoie mes trous, je nai pas le temps de prendre une douche. »
Je me mis au travail et je pus humer cette odeur enivrante dont je me délectais désormais. Je fis vite et bien en tentant de repérer le gout des différents spermes récoltés dans la journée, en vain. Je bandais comme un cochon en rut et mes couilles commençaient à me faire mal.
Et la sonnette retentit.
Marianna courut dans la chambre se changer. Cette fois-ci, le jeune inconnu se montrait avenant et souriant. Jeus même le droit à une franche poignée de main. En prime, il avait eu la délicatesse dapporter une bouteille de vin blanc que je mis dans un seau de glace avant dapporter des coupes.
Ma belle faisait déjà la conversation à ce jeune homme. Elle avait enfilé une petite robe moulante sans rien dessous qui dévoilait ses tétons en érection. Sans me regarder, elle mintima lordre de venir la manger pendant quils discutaient de tout et de rien. Je compris quelle ne se sentait pas encore tout à fait propre et quainsi, sa chatte humide ne révèlerait pas les écarts libertins de sa journée au bureau. Le mec déposa son verre et sapprocha de ma douce pour lembrasser. Il lui malaxa les seins un moment et retira la robe de Marianna, qui se retrouvait nue. Il sortit sa queue quelle prit en bouche pendant que je peaufinais mon nettoyage.
Elle me demanda de massoir, vint sempaler sur moi et se mit à me chevaucher. Sa chatte était si accueillante. Quel délice ! Comme prévu, elle demanda au mec de lui offrir une double pénétration vaginale.
« Si tu nas rien contre, jadorerais que tu te joignes à mon mec en moi. Jen ai eu envie toute la journée », lui dit-elle dun ton suppliant.
Le mec semblait étonné et marqua un temps darrêt. Il me regarda, interrogatif, haussa les épaules et sortit une capote de ses jeans. Il se mit complètement nu, enfila le préservatif et vint me rejoindre dans le vagin de ma copine. Ça peut sembler facile à réaliser, mais il nen est rien. Le type qui au-dessus fait tout le boulot. Heureusement pour nous, il a assuré et nous avons pilonné Marianna, qui se mit à hurler sa jouissance comme jamais, pendant de longues minutes.
La sensation de trois sexes travaillant à lunisson dans le seul objectif de jouir est formidable. Mais toute bonne chose a une fin et notre complice se retira, enleva son condom et demanda où il devait éjaculer. Je sentis alors une sensation de vide que devait ressentir également Marianna et lui indiquai rapidement de venir sur sa chatte ouverte. Je me retirai de ma belle, la soulevai et écartai ses lèvres afin de laisser libre cours au remplissage tant désiré.
Elle ne sy opposa aucunement et tendit sa croupe pour faciliter lopération. Le mec gicla sur son entre jambe béant en lâchant des grognements danimal. Nous étions couverts de sueur. Ma belle salope sallongea sur le canapé et écarta les jambes afin de me faire profiter du spectacle. Sa chatte avait changé dapparence. Ses lèvres gonflées formaient un cercle autour de lentrée distendue de sa cavité vaginale. Du sperme recouvrait le tout et coulait de lintérieur de son orifice. Magnifique. Je la suppliai du regard de me laisser la pénétrer dans cet état et elle acquiesça en souriant. Je ne me fis pas prier et je plongeai ma queue en elle.
À ce moment-là, nous fîmes lamour. Notre étreinte était amoureuse, affectueuse et paisible. Notre invité nous observait sans mot dire et se mit à se masturber lentement. Je ny prêtais pas attention, mais je sentais que ma douce était perturbée. Tant pis, cette fois-ci, je pensais à moi. Jaccélérai le rythme de mes coups de bassin et rapidement, je mépanchais en elle délivrant une abondante dose de sperme dans son écrin damour, bien sollicité ce jour-là, il faut lavouer.
Marianna resta allongée sur le dos et demanda à lhomme assis nu à nos côtés ce qui lui ferait plaisir.
« Je prendrais bien ton cul », lui dit-il, dun air taquin.
« Daccord, va pour mon cul. Veux-tu que mon homme me nettoie avant ? »
« Non, je te veux comme ça. Je vais dabord passer par ta chatte pour lubrifier mon pieu. »
Un connaisseur, me dis-je.
Ainsi fut fait. Marianna se positionna à quatre pattes sur le canapé et me demanda décarter son cul.
« Jai toujours rêvé que mon homme mécarte les fesses pour que nos invités sy défoulent », lança-t-elle.
« Cest de toi », lui demandais-je ?
« Non, jai lu ça dans une histoire érotique, admit-elle. Tu aimes ? »
« Jadore ! »
« Alors, écarte mon cul et regarde bien sa bite profiter de mon fondement. »
Je navais pas porté attention à la queue de ce nouvel amant et loccasion de le faire métait maintenant donnée. Sans être beau, ce trentenaire avait un certain charme et il avait lesprit déquipe, cétait indéniable. Mais si Marianna lavait choisi, cétait pour son engin qui lui, était de taille fort honorable. Une fois en position, il caressa le vagin déconstruit de ma douce avec son gland nu et poussa au fond delle faisant ressortir le trop-plein de sperme de son con élargi. Je restai interdit, mais le laissai faire malgré labsence de préservatif. Après quelques minutes de ce traitement vaginal que Marianna savourait pleinement, il sortit sa queue du vagin de ma copine et présenta son gland luisant et recouvert de liquide séminal à lentrée de rectum encore bien ouvert de Marianna. Il entra sans mal et se mit à le pilonner avec force. Mon visage était à quelques centimètres de ce coït bestial et jessayais tant bien que mal de ne pas faire obstacle aux efforts déployés par lamant de ma femelle en rut.
Il lencula fort et dun rythme soutenu pendant un bon quart dheure et finit pas se vider dans le fond du rectum de ma salope adorée. Il décula tandis que je gardais ses fesses écartées nous offrant le spectacle dun anus béant et luisant de fluides corporels. Encore en érection, jenfonçai mon pieu dans ce trou gluant afin de profiter une fois encore dun orifice devenu trop large pour moi. Jadorais cette absence totale de résistance quoffraient les trous de Marianna après que dautres hommes sy soient défoulés. Je parvins à jouir au fond delle et atteignis un formidable orgasme qui me terrassa. En libérant le cul de ma douce, un fleuve de sperme sen échappa et vint sécraser sur le sol et le canapé.
« Oups ! Tu vas avoir du nettoyage à faire, mon chéri », me glissa-t-elle.
Il était 19h30, et nous fîmes comprendre à notre invité que le temps était venu de raccrocher les gants. Il se rhabilla et prit congé après avoir embrassé Marianna et nous avoir signifié sa disponibilité et son intérêt de nous revoir rapidement. Il ajouta quil était inutile de sen faire, car les tests étaient à jour de son côté.
Il passa la porte et Marianna se tourna vers moi. Elle me regarda pensive et me demanda si jétais daccord de la laisser seule avec son prochain amant, le fameux Kevin qui semblait tant lui plaire.
« Nous irons dans la chambre. Toi, tu pourras vaquer à tes occupations et nettoyer le canapé. Quen dis-tu ? »
« Jen dis que cest pas super. Pourquoi tiens-tu à méclipser », demandais-je ?
« Kevin nest pas quune simple queue pour moi, il est spécial, mavoua-t-elle. Jai envie den profiter pour augmenter dun cran ton expérience de cocu en entretenant une certaine intimité avec lui. Tu es cérébral. Tu dois aimer lidée que je lui réserve un traitement spécial, non ? »
Je ne savais pas quoi dire, mais jétais éreinté. Elle, par contre, semblait encore en pleine forme. Ladrénaline, je suppose. Jabdiquai, laissant libre cours à ses désirs. Elle partit prendre une douche et revint guillerette. La sonnette retentit.
« Déjà », fis-je ?
Sans mot dire, elle se dirigea vers la porte et accueillit Kevin, uniquement vêtue dune serviette de bain quelle laissa tomber au sol après avoir fermé la porte. Elle embrassa Kevin langoureusement, nue, devant moi et lentraina vers notre chambre en me souhaitant une bonne nuit.
« Nuit, demandais-je ? Mais je suis censé dormir où ? »
« Sur le canapé, mon amour. Kevin et moi allons passer la nuit ensemble. Il doit séclipser tôt demain matin. Tu viendras me rejoindre après son départ. Bonne nuit, mon cur. »
Ainsi sachevait cette journée de débauche. Enfin, pas tout à fait. Jeus du mal à trouver le sommeil en les entendant saccoupler et je fus réveillé à trois reprises durant la nuit par les cris de jouissance de ma douce, prise par Kevin dans notre chambre alors que jétais assigné au canapé. Au petit matin, la porte claqua et je rejoignis Marianna dans notre lit conjugal.
« Cétait formidable, mon amour. Merci ! Viens te coller contre moi et fais-moi tout ce que tu veux. »
Je nétais pas encore très bien réveillé, mais je me déshabillai et me glissai sous les couvertures moites. La pièce dégageait une odeur de sexe et de sueur. Je fis glisser mes doigts sur le vagin gluant de ma copine infidèle et fis pénétrer sans mal trois doigts. Même constat du côté de son anus.
« Tu es parvenu à le sentir malgré tout ? »
« Oui, le sexe de Kevin est presque aussi gros que celui de mon patron. Il est venu de nombreuses fois, quatre je crois. Tu ne veux pas gouter ? »
Après tout, cest moi qui la voulais ainsi. Javais beau être contrarié par la situation, je plongeai sous les couvertures et me mis à laper ses orifices. Une fois bien dur, je fis glisser mon chibre dans son vagin dilaté, chaud et visqueux et me défoula en prenant soin de caresser son anus, désormais tendre comme une bouche, me rappelant à quel point ma copine était devenue une véritable salope. Jimaginais que je la prenais ainsi après que des dizaines de mecs se soient relayés pour lui remplir les orifices pendant une nuit entière. Je lignorais alors, mais ça ne tarderait pas à arriver. Je jouis à nouveau dans son cul infidèle et me laissai glisser contre son corps. Le temps était venu de dormir un peu.
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